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Echoes

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Informations sur l'exposition

Ouverture:

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samedi 26 septembre 2015, 19h
du 26 septembre au 31 octobre 2015
Wunderkammern Roma, via Gabrio Serbelloni 124, Roma
du mercredi au samedi, 11h - 19h
Pure Evil

Ouverture:

samedi 26 septembre 2015, 19h

Afficher les dates :

du 26 septembre au 31 octobre 2015

Emplacement:

Wunderkammern Roma, via Gabrio Serbelloni 124, Roma

Horaires d'ouvertures:

du mercredi au samedi, 11h - 19h

Artiste:

Pure Evil

sous la direction de Giuseppe Ottavianelli

Texte de Blek Le Rat, Fanny Borel, Josh Jones

Pure Evil (Charles Uzzell-Edwards, né en 1968 en Galles du Sud), enfant de la balle, il a étudié la mode et le graphisme à Londres, puis a déménagé en Californie où il est entré dans la scène musicale et la culture de rue de San Francisco en tant que designer et DJ de musique électronique. C’est dans cette ville qu’il commence à peindre dans la rue, influencé par les graffitis de la côte ouest. De retour au Royaume-Uni après dix ans, il commence à collaborer avec le groupe Santa’s Ghetto de Banksy et suite au grand succès de sa première exposition personnelle en 2007, il ouvre la Pure Evil Gallery à Londres.

À travers une iconographie sombre, non sans ironie, l’artiste vise à explorer les côtés maléfiques et sinistres de la société, des gens et de la vie. Ses portraits d’icônes pop en version « dark », ou ses emblématiques lapins à crocs, répétés de manière quasi rituelle à la suite de l’expérience traumatisante de l’artiste, réfléchissent sur le thème du bien contre le mal et sur la destruction des rêves et des utopies. En 2015, après un événement tragique qui affecte la vie de l’artiste et qui l’amène à se lancer dans un voyage spirituel en Asie, Pure Evil entame deux nouvelles séries d’œuvres: la première, dans laquelle il intègre des thèmes, des icônes et des symboles de dérivation orientale, et la dernière, inspirée des contes de fées et des contes d’enfance, dans laquelle les souvenirs d’un passé lointain se croisent avec les plus vifs dans l’esprit de l’artiste. 

L’exposition de Pure Evil à Wunderkammern, Echoes, a exploré le thème de la mémoire. La mémoire est un écho du passé, et tout comme l’écho déforme le son original, le reproduisant différemment, la mémoire peut déformer le passé. La mémoire peut donc être trompeuse, peu fiable, et en ce sens elle peut transformer la réalité actuelle, impactant de manière concrète les actions et les pensées de notre vie quotidienne. De plus, non seulement la vie de l’individu peut être influencée par les souvenirs de son passé, mais de la même manière le groupe a aussi sa propre mémoire collective, parfois plus forte que celle de l’individu.

Des œuvres réalisées au pochoir, à la bombe, à l’encre, au marqueur et à l’acrylique sur toile et aussi des sérigraphies ont été présentées lors de l’exposition. Outre la célèbre série Nightmare, composée de portraits pop de stars hollywoodiennes marqués par la larme caractéristique de l’artiste, aussi les œuvres d’inspiration orientale de la série A Temple of Broken Hearts, et les dessins avec les histoires d’enfance de l’inédite Childhood Series

L’artiste était présent au vernissage. Dans les jours qui ont précédé l’exposition, Pure Evil a réalisé une intervention murale dans l’espace public de Rome; il a également été le protagoniste de nombreuses performances live dans la ville au cours desquelles il a réalisé des sérigraphies devant les passants. 

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